SIGNEZ LA PÉTITION POUR DEMANDER À DECATHLON DE CESSER DE VENDRE DES POISSONS ET DES CRABES
À l’attention des dirigeant-e-s de DECATHLON,
DECATHLON commercialise des poissons et des crabes vivants pour être utilisés comme appâts pour la pêche de loisir.
Non seulement les poissons sont les seuls animaux vertébrés vivants à être vendus par DECATHLON, mais ils le sont pour être torturés ! Cela abîme l’image de DECATHLON en associant l’enseigne à la souffrance animale.
Être leader sur un marché impose de montrer l’exemple en matière de condition animale qui est, rappelons-le, une cause considérée comme importante par 89% de la population française (étude IFOP réalisée en 2019).
L’état des connaissances scientifiques démontre que les poissons et les crabes ressentent la souffrance, ont des émotions et des personnalités. Il est temps que DECATHLON arrête de faire mine de l’ignorer.
En signant cette pétition, je demande aux dirigeant-e-s de DECATHLON de cesser de vendre des poissons et des crabes.
Je signe la pétition contre Decathlon
Partout en France, des pétitions sont lancées pour demander à des magasins Decathlon de cesser de vendre des poissons et des crabes pour la pêche au vif. Les médias relaient largement :
Brive-la-Gaillarde (19) (La Montagne, La Montagne) ;
Ecully (69) (Le Progrès) ;
Herblay (95) (Actu, Le Parisien, Actu) ;
Bourges Saint Doulchard (18) (Le Berry Républicain, France Bleu, France Bleu, RCF) ;
Carcassonne (11) (Le Midi Libre, France 3, La Voix du Nord) ;
Reims – La Neuvillette et Reims – Cormontreuil (51) (L’Union) ;
Caen Rots (14) ;
Saint Omer Longuenesse (62) (La Voix du Nord, La Voix du Nord, Paris Normandie) ;
Montpellier Odysseum (34) (France 3, La Gazette de Montpellier, Hérault Tribune, Ouest France, France 3, Vakita, Le Figaro) ;
Orléans (45) ;
Auxerre (89) (France Bleu) ;
Troyes – Lavau (10) (L’Est Eclair, France 3) ;
Montauban (82) (La Dépêche, Actu Toulouse) ;
Nevers – Marzy (58) (Le Journal du Centre) ;
Foix (09) (Actu, La Dépêche) ;
Belfort – Bessoncourt (90) ;
Beauvais (60) (Courrier picard, France Bleu, Actu, France Bleu, France Bleu) ;
Bron (69) ;
La Rochelle Puilboreau (17) (Sud Ouest, Actu La Rochelle, La Nouvelle République, France Bleu, Charente Libre, France 3) ;
Saint-Nicolas-de-Redon (44) (Le Télégramme, Ouest France, France 3, France 3, Presse Océan, Le Figaro) ;
Avignon Sud – Mistral 7 et Avignon Nord – Le Pontet (84) (France Bleu, France Bleu, France 3, Le Dauphiné, Le Dauphiné Libéré, Vaucluse Matin, La Provence) ;
Colomiers (31) (La Dépêche, La Voix du Nord, Courrier picard, L’Opinion Indépendante, L’Aisne Nouvelle, Le Soir, Paris Normandie, La Dépêche, La Dépêche) ;
Mandelieu-la-Napoule (06) (France Bleu, France 3, France Bleu, Nice Matin, Actu Nice, Actu Nice, Nice Matin, Monaco Matin, Var Matin) ;
Grésy-sur-Aix (73) (Le Dauphiné libéré, Le Dauphiné libéré, Le Dauphiné libéré) ;
Poitiers – Vouneuil sous Biard (86) (La Nouvelle République, Centre Presse) ;
Nantes – Atlantis et Nantes – Vertou (44) (Actu Le Mans, Le Maine Libre, Actu Nantes) ;
Le Mans Sud Ruaudin (72) (Actu Nantes, Ouest France, Actu Le Mans, Le Maine Libre, France Bleu) ;
Saint-Quentin (02) ;
Échirolles, La Tronche et Saint-Égrève (38) (Place Gre’net, Le Dauphiné libéré, France 3) ;
Metz – Augny (57) (Lorraine actu; France 3) ;
Bordeaux – Bègles (33) (Actu Bordeaux, Sud Ouest) ;
Agde (34) (La Gazette de Montpellier, Midi Libre) ;
Nancy – Houdemont (54) (France Bleu, L’Est Républicain, France Bleu) ;
Sarrebourg (57) (Moselle TV) ;
Pontivy (56) (Ouest France, Pontivy Journal, Le Télégramme, France Bleu) ;
Annemasse (74) ;
Le Sequestre – Albi (81) (La Dépêche) ;
Cergy-Pontoise Osny (95) (La Gazette Val d’Oise) ;
Toulon La Garde (83) (BFMTV, Var matin, Monaco Matin) ;
Saint-Dié-des-Vosges (88) (Épinal Infos) ;
Dijon – Quetigny (21) (Dijon Actualités) ;
Valence (26) (Le Dauphiné, Ouest France) ;
Limoges (87) (Le Populaire du Centre, Le Populaire du Centre, La Montagne, La Nouvelle République) ;
Annecy – Epagny (74) ;
Domus – Rosny-sous-Bois (93) ;
Nice Lingostière et Nice TNL (06) (France Bleu, Actu, Nice Matin) ;
Rodez – Onet-le-Château (12) (La Dépêche, Actu) ;
Niort (79) (Le Courrier de l’Ouest, La Nouvelle République, Actu) ;
Épinal (88) (Épinal Infos) ;
Tulle (19) ;
Saint-Nazaire (44) (Ouest France, Presse Océan) ;
Tours (37) ;
Villeneuve-lès-Béziers (34) (France Bleu, France Bleu, Métropolitain) ;
Angers – Les-Ponts-de-Cé (49) (Le Courrier de l’Ouest, La Nouvelle République) ;
Varennes-sur-Seine (77) (La République de Seine-et-Marne) ;
Mulhouse Wittenheim Kingersheim (68) (Dernières Nouvelles d’Alsace, Le Parisien, Actu, France 3, France 3, France Bleu) ;
Agen – Boé (47) (Sud Ouest) ;
Douai – Lambres-lez-Douai (59) (La Voix du Nord, L’Observateur) ;
Oyonnax – Arbent (01) (Le Progrès, La Voix de l’Ain) ;
Perpignan (rond-point des Arcades) et Claira (66) (L’Indépendant, Pyrénées FM, Pyrénées FM) ;
Sarreguemines (57) (Le Républicain Lorrain, Le Républicain Lorrain) ;
Montluçon (03) (La Montagne, France 3, France 3, RJFM) ;
Marseille – Bouc-Bel-Air (13) (La Provence, Actu, Midi Libre) ;
Aurillac (15) (La Montagne) ;
Dunkerque – Grande Synthe (59) ;
Saint-Lô (50) (France 3) ;
Chasse-sur-Rhône (38) (Lyon Capitale, Le Dauphiné libéré, Radio Scoop, Vivre Vienne, BFMTV, Capital, Paris Normandie, Courrier picard, Actu, Marie France, La Plasturgie, Nuit France, La Voix du Nord, L’Aisne nouvelle) ;
Fouquières-lès-Béthune (62) ;
Mâcon (71) ;
Lisieux (14) (Ouest France, Tendance Ouest) ;
Provins (77) (Actu) ;
Montargis – Amilly (45) (Actu, Ouest France);
Aubagne (13) (Actu, La Provence, MesInfos) ;
Trans-en-Provence (83) (Var-Matin);
Toulon – Ollioules (83).
Face au mécontentement, certains de ces magasins ont arrêté d’alimenter la pêche au vif :
Carcassonne (11) (L’Indépendant, La Dépêche, Actu) ;
Foix (09) (France 3, Actu, La Dépêche) ;
Bron (69) (Le Progrès) ;
Reims – La Neuvillette (51) (L’hebdo du vendredi) ;
Herblay (95) (Le Parisien, Actu) ;
Annemasse (74) ;
Brive-la-Gaillarde (19) ;
La Tronche (38) (Le Dauphiné) ;
Reims – Cormontreuil (51) (L’Hebdo du vendredi) ;
Avignon Sud – Mistral 7 (84) (La Provence, L’écho du mardi) ;
Bordeaux – Bègles (33) (Sud Ouest) ;
Pontivy (56) (Le Télégramme, Ouest France, Actu.fr, Breizh Info) ;
Belfort – Bessoncourt (90) (MaCommune.info, France Bleu, Ouest France, France Bleu, L’Est Républicain, L’Est Républicain) ;
Écully (69) ;
Caen Rots (14) (Tendance Ouest) ;
Mulhouse Wittenheim Kingersheim (68) (France 3, Actu, France Bleu, France Bleu, Ouest France, Dernières Nouvelles d’Alsace) ;
Nantes – Atlantis (44) (Actu) ;
Epinal (88).
Decathlon est le partenaire officiel des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024. Quelle mauvaise image pour la France ! PAZ organise plusieurs mobilisations à Saint-Étienne et Paris, à l’occasion de cet événement mondial pour faire entendre à l’enseigne que torturer des animaux n’est pas du sport. Plusieurs médias ont relayé la revendication de PAZ à l’égard de Decathlon pour les JOP (Le Figaro, Reporterre, Le Progrès, L’Essor Loire).
ENQUÊTE :
LE CALVAIRE DES POISSONS VENDUS PAR DECATHLON POUR LA PÊCHE AU VIF
LA PÊCHE AU VIF est une pratique barbare :
nous demandons son interdiction en france
Ce qu'est
la pêche au vif
La pêche au vif est une pratique de pêche qui utilise un animal vertébré vivant comme appât.
Généralement, un hameçon est planté dans le dos ou la bouche d’un poisson vivant afin d’attirer son prédateur qui mordra à l’hameçon.
Le poisson transpercé vivant peut souffrir pendant des heures avant d’être mangé. À l’approche du prédateur, sans issue possible, le poisson vif est terrorisé.
À cela s’ajoute l’extraction brutale de l’eau, à la fois du vif et du prédateur, inhérente à toute forme de pêche. Cet arrachement à leur milieu provoque la suffocation des poissons, ce qui les terrorise.
Lorsque le prédateur n’a pas mangé le vif mais l’a juste blessé (écailles arrachées, nageoires blessées voire arrachées…), le vif peut être utilisé à nouveau comme appât !
La pêche au vif permet notamment de pêcher des brochets, black bass, silures, sandres, perches… Les poissons vifs sont généralement de très jeunes poissons (par exemples des goujons, ablettes, chevesnes, tanches…). Des gros vifs sont également utilisés pour la pêche du silure.
La vie d'un poisson vif
est une vie de souffrance intense
Aux côtés d’Allain Bougrain Dubourg, PAZ dévoile une enquête sur le calvaire des poissons vendus par les magasins Decathlon, de la pisciculture à la partie de pêche :
1) La pisciculture : Les vidéos ont été tournées à la pisciculture Bigot dans le Maine-et-Loire en 2022, qui fournit des poissons vivants à Decathlon pour la pêche au vif. Nous avons découvert que de nombreux poissons meurent dans les étangs d’élevage de cette pisciculture. Des centaines de cadavres recouvrent la surface. Seulement quelques poissons vivants peuvent être aperçus : ils nagent sur le dos, ce qui est un signe d’un grave problème de santé. Par endroit, l’eau est particulièrement sale.
2) Decathlon : La pisciculture Bigot fournit le magasin Decathlon de Nantes-Atlantis. Les vidéos ont été tournées en 2022. Dans ce Decathlon, les poissons sont vendus pour 40/45 centimes.
3) La pêche au vif : Ces images ont été tournées en 2022. Après avoir acheté les poissons en magasin, les pêcheurs les maintiennent en vie dans de vulgaires seaux, dits “seaux à vifs”. Sans aérateur et en surpopulation, les poissons sont en grande souffrance et certains meurent. Ceux qui survivent se font embrocher vivant pour servir d’appât. Dans la vidéo on voit un pêcheur transpercer la bouche du poisson avec un hameçon alors qu’il est toujours vivant, puis le laisser suspendre à la canne à pêche et le jeter à l’eau. Le poisson n’a alors aucune possibilité de fuir face à des prédateurs, et peut rester à souffrir empalé vivant pendant des heures.