Aller au contenu

Alors que des méthodes éthiques et efficaces existent, de nombreuses Villes ont encore recours à des méthodes cruelles pour limiter les populations de pigeons. C’est le cas d’Asnières-sur-Seine qui commandite des opérations de gazage : les pigeons sont capturés dans des cages où ils n’ont ni eau ni abri. Des oiseaux meurent de soif ou d’épuisement, des cadavres sont abandonnés près des cages, les pigeons survivants sont récupérés dans vulgaires seaux pour être gazés…

Je signe la pétition pour qu'Asnières-sur-Seine cesse de gazer les pigeons

3480 signatures

À l’attention du Maire d’Asnières-sur-Seine


Dans toute la ville, à votre demande, l’entreprise SAPIAN installe des cages sur des toits d’immeubles où les pigeons sont appâtés avec du maïs. L’enquête de PAZ démontre l’angoisse et la souffrance que vivent les pigeons capturés à Asnières. Dans les cages, il n’y a ni eau, ni abri : des oiseaux meurent avant le passage des employés de SAPIAN et leurs cadavres sont laissés sur les toits. Ceux qui survivent sont transportés dans un vulgaire seau.


Nous soulignons que les pigeons sont des êtres sensibles et que des méthodes éthiques et efficaces existent pour limiter leurs populations.

Aux côtés de PAZ, je vous demande de mettre un terme aux campagnes de gazage et à toute méthode cruelle pour la gestion des pigeons.

Nous appelons de nos vœux une ville bienveillante et accueillante envers les animaux liminaires.

PAZ a demandé à plus de 140 communes, leurs documents administratifs relatifs à la gestion des pigeons. Nous avons alors réalisé un état des lieux des méthodes utilisées par les Mairies en France, qu’elles soient cruelles (gazage, stérilisation chirurgicale, campagne de tirs) ou éthiques (absence de méthode, pigeonnier contraceptif, maïs contraceptif).

Découvrez si votre Ville a recours à des méthodes cruelles en consultant notre suivi des méthodes de gestion des pigeons utilisées par les Mairies. N’hésitez pas à interpeller votre Mairie sur la question !

Pour voir plus de retours média, consultez la revue de presse de PAZ.